Paris - Zénith (11/03/1987)
6.800 spectateurs
bootleg

Photos
Presse
Anecdotes
Emmenée par la locomotive 'In the army now', c'est un Zénith plein à craquer qui accueille Status Quo (plus de 6.500 personnes). On se croirait revenu aux grandes heures du Pavillon de Paris. La presse salue un concert diablement énergique.
Ce qu'ils ont dit du concert
Set-List
Whatever you want, Paper plane, Roll over lay down, Dreamin', Little lady, Mystery medley, Hold you back, Don't drive my car, Dirty water, In the army now, Rockin' all over the world, Big fat mama, Don't waste my time, Roadhouse blues, Caroline, Rain, Down down, Bye bye Johnny.
Témoignages
Le Zénith était plein à craquer, peut étre cette année là aurait il pu faire Bercy ? Le succés de "In the army now" y étant pour beaucoup. Et dans la salle celà se voie. On y voit beaucoup de jeunes personnes très propre sur eux, assurément peu préparer au déferlement de boogie qui bientôt les submergera. Leur allure dénote à côté du vrai fan, couvert de patchs au nom de son (ses) groupe(s) préféré(s). Mais Status Quo ce n'est pas le Top 50. Du coup j'ai vu nombre de ces jeunes gens quitter la salle avant la fin. Incroyable!!! Et de ceux qui sont resté, peu sont revenu les années suivantes, ce public étant très versatile par nature. En ce qui me concerne ce concert restera un bon souvenir, même si Alan Lancaster n'était plus là, et que je n'arrivais pas encore à me faire à son remplaçant que je trouvait particulièrement gauche sur scène. Il avait d'ailleurs failli s'étaler en trébuchant sur l'estrade supportant la batterie. Et puis sa coupe pétard qui lui donnait des airs de premier de la classe. Non à l'époque il n'avait vraiment pas la cote auprès de moi. (Michel)
On les a vus au Zénith de Paris à la sortie de 'In the army now', en 1987. On était à 2 mètres de la scène et dans la fosse on s'est régalé pendant 2 heures ou plus. A l'époque on se disait: 'Ils sont vieux, 'faut pas les louper, 'auront-ils de l'énergie suffisante pour nous faire passer un bon moment ?'. Et puis ils sont venus, on a vu et entendu et ils ont vaincu (Emerald)